Socrates, Falcao, Zico, Careca, Josimar, Alemão… C’était l’un des plus beaux Brésil, et cela aurait dû être leur Mondial.
Au final, 1986 est un très mauvais souvenir pour la Seleçao.
La faute, d’une part, à Diego Maradona, qui permet à l’honni rival argentin de remporter la Coupe du Monde. Mais aussi aux petits Bleus de Henri Michel, qui se sont dressés sur la route des Brésiliens en quarts de finale. Peut-être parce qu’après l’ouverture du score de Careca (quel but…), la Seleçao se voyait déjà en demies, trop belle. Mais Platoche a répondu. 1-1, tirs au but.
Les légendes flanchent : Socrates, d’abord, puis Platini. L’erreur décisive est de Julio César, avant que Luis Fernandez
allez Luis, allez mon petit bonhomme! ne renvoie les Brésiliens chez eux. Et leur beau maillot doré avec.
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